0

813

Bod
Erschienen am 01.11.2015
CHF 29,25
(inkl. MwSt.)

Lieferbar innert 5 - 9 Arbeitstagen

In den Warenkorb
Bibliografische Daten
ISBN/EAN: 9782335044508
Sprache: Französisch
Umfang: 292
Auflage: 1. Auflage

Beschreibung

813 est un roman captivant écrit par Maurice Leblanc, l'un des maîtres incontestés du genre policier. Publié pour la première fois en 1910, ce livre est le sixième de la série des aventures d'Arsène Lupin, le célèbre gentleman cambrioleur. L'histoire commence lorsque Lupin reçoit une lettre anonyme le mettant au défi de dérober un objet précieux, le fameux diamant bleu "La Grande Mazarin". Intrigué et avide de relever ce défi, Lupin se lance dans une enquête complexe et palpitante. Mais ce qui rend 813 si unique, c'est que Lupin n'est pas le personnage principal de cette histoire. En effet, le roman se concentre sur un autre personnage fascinant, l'inspecteur Ganimard, l'ennemi juré de Lupin. Ganimard est déterminé à arrêter le célèbre cambrioleur et à résoudre le mystère entourant le vol du diamant. Leblanc nous plonge dans un récit haletant, mêlant suspense, rebondissements et énigmes. Les pages se tournent rapidement, nous tenant en haleine jusqu'à la dernière ligne. L'auteur nous offre une intrigue complexe et intelligente, où rien n'est ce qu'il semble être. 813 est un véritable chef-d'uvre du genre policier, mettant en scène des personnages charismatiques et des situations inattendues. Leblanc nous offre un voyage captivant dans l'univers de l'énigme et du crime, où les limites entre le bien et le mal sont floues. Si vous êtes amateur de romans policiers, 813 est un livre incontournable. Maurice Leblanc nous prouve une fois de plus son talent pour créer des histoires palpitantes et des personnages inoubliables. Plongez dans l'univers de Lupin et Ganimard, et laissez-vous emporter par cette intrigue captivante. Extrait: "M. Kesselbach s'arrêta net au seuil du salon, prit le bras de son secrétaire, et murmura d'une voix inquiète: - Chapman, on a encore pénétré ici. - Voyons, voyons, monsieur, protesta le secrétaire, vous venez vous-même d'ouvrir la porte de l'antichambre, et, pendant que nous déjeunions au restaurant, la clef n'a pas quitté votre poche."